L'Aubrac

Les galeries photos

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Le haut plateau

Les paysages du haut plateau se découvrent dès 1100 mètres d’altitude. Il font partie des lieux que je photographie le plus souvent sur l’Aubrac.
C’est un lieu de contrastes, où les vastes étendues herbeuses s’entremêlent aux ruisseaux et aux lacs miroitants.
Du printemps aux prairies recouvertes de fleurs sauvages, à l’hiver pendant lequel le plateau semble s’endormir pour mieux résister au froid et aux vents, ce sont des ambiances et des couleurs toujours changeantes que l’on découvre.
Même si le haut plateau est souvent comparé à d’autres paysages à travers le monde, il reste pour moi unique, avec sa propre personnalité.

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Les brumes

Les brumes ont toujours fait partie de mes ambiances préférées. Parfois elles sont semblables à de fines écharpes laissant deviner le contour des reliefs, à d’autres moment elles recouvrent comme de vastes mers le paysage en intégralité, laissant apparaître uniquement quelques sommets épars.

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Les burons

Peu après mes premières sorties sur l’Aubrac, les burons sont rapidement devenus mon sujet photographique préféré, et la plupart du temps un but de randonnée.
J’ai toujours été attiré par ces constructions, témoignages d’une activité aujourd’hui révolue et d’une vie rude. Souvent isolés au coeur de leur Montagne, ils font partie des paysages et du patrimoine de l’Aubrac, apparaissant au détour d’un chemin ou derrière la crête d’une colline.

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L'eau

L’eau est indissociable de l’Aubrac. Territoire de sources alimentant l’ensemble des alentours, l’eau façonne ses paysages, depuis les plus petits ruisseaux serpentant à travers les estives jusqu’aux boraldes dévalant avec leurs eaux tumultueuses le versant sud de l’Aubrac. Quelques lacs d’origine glaciaire pour la plupart viennent également ponctuer le haut plateau.

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Le lac de Saint Andéol

Il est le plus grand lac glaciaire de l’Aubrac avec ses 12 hectares. C’est un site qui entremêle d’anciennes croyances païennes, au Vème siècle les populations locales venaient y jeter des offrandes. Avec l’arrivée du christianisme, une chapelle aujourd’hui disparue fut bâtie non loin du lac.

Une tradition qui s’est prolongée avec des processions chaque deuxième dimanche de Juillet jusqu’aux années 1870, où ces manifestations furent interdites

Lieu incontournable de l’Aubrac, il est unique de part ses lumières et ambiances toujours variées, avec ses eaux changeant de couleurs selon les lumières. Le lac de Saint-Andéol est un des lieux que j’ai le plus photographié jusqu’il y a peu de temps, peut-être devient-il un peu trop fréquenté à mon goût comme d’autres sites de l’Aubrac.

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Le temps de l'estive

La période d’estive sur l’Aubrac débute généralement autour du 25 mai, à la Saint Urbain, et dure jusqu’à mi Octobre. Elle peut être plus ou moins étendue selon les conditions météorologiques.

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La forêt

Autrefois la forêt couvrait intégralement le plateau de l’Aubrac. Elle commença à être défrichée dès le IVème siècle pour laisser place aux pâturages, principalement sous l’influence de la Domerie d’Aubrac jusqu’au XVème siècle.

Il reste désormais une petite partie de la forêt originale entre 1000 et 1400 mètres d’altitude

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Les boraldes

Le versant sud de l’Aubrac est entaillé de profondes vallées, creusées par des ruisseaux appelés boraldes. Elles prennent leur source sur le haut plateau, entre rochers et herbes hautes, puis deviennent tumultueuses lorsqu’elle commencent à dévaler les pentes, pour rejoindre le Lot 1000 mètres plus bas. 

Les boraldes de Saint Chély, Flaujaguèse, les Mousseaux et le Merdanson sont les principales, avec des cours mesurant de 15 à 29 kilomètres.

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Sous les étoiles

Depuis de nombreuses années je photographie l’Aubrac de nuit. Ses ambiances nocturnes sont toujours des moments rares à toutes saisons de l’année. L’Aubrac a la chance de bénéficier d’un pollution lumineuse assez faible, grâce à l’absence de villes importantes à proximité et à son altitude.